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La Fédération internationale de canoë veut rester à flot

Basée à Lausanne, l'ICF espère séduire les amateurs ponctuels pour assurer la croissance de son sport.

25 août 2015, 16:19
Venezuela's Jose Silva buried in the white water early on the course in the Men's Canoe (C1) event at the Pan Am Games in Minden, Ontario, Sunday, July 19, 2015. Da Silva won the bronze medal in the event. (Fred Thornhill/The Canadian Press via AP)

C’est au bord du Léman, dans la Maison du sport international à Lausanne, que la Fédération internationale de canoë (ICF) a élu domicile depuis 2006. Depuis ce lieu stratégique, aux côtés des autres fédérations et associations sportives, un petit groupe de six personnes gère et coordonne les événements des multiples sports de rames (15, dont 10 sous contrôle de l’ICF) affiliés à cette fédération.

«Nous sommes basés ici pour tisser et entretenir nos relations avec les autres fédérations et le CIO, puisque nous avons également des disciplines olympiques. Cela nous semblait un emplacement évident, même si le Léman n’est pas le meilleur endroit pour pratiquer des sports de rames. Il est préférable de se rendre à Annecy, Annemasse, vers les frontières italiennes, mais aussi à Berne ou Zurich, là où il y a moins de vagues», explique Simon Toulson, secrétaire général de l’ICF.

Retrouvez cet article en intégralité dans nos éditions papier et numérique de ce mercredi 19 août.

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