«On a les boules, mais on sait qu’il faut y aller, donc il n’y a pas le choix. Quand j’entends le hajime, on est dans le combat. On y va, on attaque, et on fait tomber. Du moins, on essaie», rappelait Séverine Guyoy-Dewarrat à propos de son entrée en demi-finales. Car la phase la plus critique au-travers de laquelle sont passées les judokas morgiennes a bien eu lieu à ce stade de la compétition.
Kimono de Priscilla Morand sur les épaules en hommage à sa coéquipière blessée, Guyot-Dewar...