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Federer se qualifie pour son 35e quart de finale en Grand Chelem

Roger Federer est parvenu à retourner et à s'imposer face au cogneur canadien Milos Raonic en trois sets: 6-4 7-6 6-2. Le Bâlois s'est montré extrêmement solide sur sa mise en jeu et a dominé le Canadien dès que l'échange s'installait.

21 janv. 2013, 12:47
Federer s'est montré solide sur sa mise à jeu.

Il n'y a pour l'instant rien à faire contre Roger Federer à l'Open d'Australie. Malgré toute sa puissance de feu au service, Milos Raonic a été désarmé devant le brio du Bâlois en 8e de finale.

Roger Federer s'est imposé 6-4 7-6 (7/4) 6-2 devant le Canadien. Deux jours après avoir cueilli son 250e succès dans un tournoi du Grand Chelem, il a prolongé une série qui lui tient à coeur: les qualifications en quart de finale dans un tournoi majeur. Il a assuré lundi soir à Melbourne une trente-cinquième participation de rang depuis sa défaite au troisième tour des Internationaux de France 2004 devant Gustavo Kuerten.

Face à un adversaire qu'il avait battu avec peine à trois reprises l'an dernier, Roger Federer fut, une fois de plus, magistral au service. Il n'a pas concédé une seule balle de break au cours de cette rencontre, ne perdant que douze points sur son engagement. Depuis le début du tournoi, il rend une copie absolument parfaite: 57 jeux de service gagnés sur 57 joués avec seulement quatre balles de break abandonnées en chemin, trois contre Benoît Paire au premier tour et une samedi face à Bernard Tomic.

Milos Raonic a tenu son service jusqu'à 4-4 avant de le perdre au dixième jeu sur une double faute et sur une grossière erreur en volée de revers. Au deuxième set, le bombardier canadien pouvait "survivre" jusqu'au tie-break. Dans ce jeu décisif, il était toutefois crucifié sur deux passings, le premier en revers à 3/3, le second en coup droit à 6/4. Mené deux sets à rien, Raonic devait ensuite tirer la prise.

Mercredi, Roger Federer affrontera Jo-Wilfried Tsonga en quart de finale. Le Français croit en ses chances. N'a-t-il pas déjà battu le Bâlois dans un tournoi du Grand Chelem, en 2011 à Wimbledon, après avoir pourtant été mené deux manches à rien ? Mais il n'ignore pas qu'il reste sur trois défaites contre l'homme aux dix-sept titres du Grand Chelem, en 2011 à Flushing Meadows, à Paris-Bercy et au Masters de Londres.

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