En poste depuis deux ans, le chef du Département des affaires étrangères (DFAE), Ignazio Cassis, a eu le temps de se faire des ennemis. Déçue par le virage à droite opéré par le libéral-radical tessinois, après l’ère du centriste Didier Burkhalter, la gauche ne manque pas de l’étriller chaque fois qu’il semble donner des gages à la droite et aux milieux économiques. C’est le jeu de la politique, mais le Tessinois prête le flanc à la critique, en adoptant des po...
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Cassis sous pression
L’assaut des Verts contre un siège libéral-radical au Conseil fédéral vise un ministre à la ligne fluctuante.
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