Dès le 7 mars, le Tribunal criminel du Nord vaudois se penchera sur la mort de Marie, tuée par un détenu aux arrêts domiciliaires qui avait déjà été condamné pour assassinat. L’internement à vie sera au centre des débats. Le drame avait soulevé une vague d’émotion en Suisse romande.
L’homme a un lourd passé pénal: il a été condamné à 20 ans de réclusion pour l’enlèvement, le viol et l’assassinat de sa petite amie en 1998. Il avait alors 22 ans. Depuis l’été précédent, il purge la fin de sa peine à son domicile, sous certaines conditions, et porte un bracelet électronique. Il travaille dans une ...