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Davantage de recrues recalées au test de sécurité

06 déc. 2015, 23:31
/ Màj. le 07 déc. 2015 à 00:01
ZUR HEUTIGEN DEBATTE IM NATIONALRAT UEBER DIE ARMEEREFORM STELLEN WIR IHNEN AM DONNERSTAG, 18. JUNI 2015, FOLGENDES ARCHIVBILD ZUR VERFUEGUNG  -  Infantry recruits stand in two rows on a green field, pictured on May 17, 2013, in the infantry recruit school of the Swiss army in Colombier, canton of Neuchatel, Switzerland. (KEYSTONE/Christian Beutler)



Rekruten der Infanterie stehen auf der gruenen Wiese in Reih und Glied, aufgenommen am 17. Mai in der Infanterie RS 5 (Rekrutenschule) in Colombier, Kt. Neuenburg. (KEYSTONE/Christian Beutler) SCHWEIZ SESSION NATIONALRAT ARMME

Près de 1200 recrues n’ont pas passé le contrôle de sécurité de l’armée suisse l’an dernier. Ces jeunes hommes ont été considérés à risque et exclus de l’armée avant même l’école de recrues.

Depuis l’été 2011, tous les futurs soldats sont soumis à un contrôle de sécurité. L’an dernier, 1213 conscrits ne l’ont pas passé, a confirmé le porte-parole de l’armée Christoph Brunner, confirmant un article du journal «Schweiz am Sonntag». En 2013, ils étaient 965 à échouer.

Le contrôle de sécurité évalue le potentiel de violence des recrues. Cette mesure doit permettre à l’armée d’empêcher que des personnes représentant un risque possible pour elles-mêmes ou pour leur entourage puissent accomplir du service militaire. Elles ne reçoivent ainsi ni de formation militaire ni d’arme personnelle.

Abattue à l’arrêt de bus

Cette mesure a été introduite notamment suite à un drame survenu en 2007 à Zurich-Höngg. Un soldat avait alors tué...

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