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De Prangins à l'Australie: jamais seul même à l'autre bout du monde

14 janv. 2015, 11:02
14.01.2015_c

L'idée de base en partant seul à l'autre bout de la planète c'était de pouvoir prendre mes propres décisions et suivre qui je voulais. C'est donc tout naturellement qu'après une semaine à Perth, décision a été prise de partir pour Bali!

J'explique pourquoi le "naturellement": après avoir discuté avec des backpackers qui sont sur la route depuis de très longs mois, j'ai compris que Bali était un peu LA destination où tout le monde se rendaient pour des petites vacances dans les vacances.

"Partir en vacances pour économiser de l'argent", j'ai tout de suite adoré le concept.

L'avantage dans un backpack saturé de Français, c'est qu'il y en a toujours un ou deux qui se portent volontaires pour te déposer à l'aéroport... Si la voiture veut bien démarrer! Proposer de faire le taxi c'est gentil, avoir une voiture qui fonctionne c'est mieux ! Il ne fallait pas se faire voler les clés... Un tournevis dans le contacte, deux câbles arrachés pour faire démarrer la bête, elle ronronne, on est parti!

L'avantage de partir à six et d'être dans un avion rempli au 1/10, c'est que chacun peut se prendre une rangée entière de sièges pour faire la sieste. Car la soirée d'adieu de la veille a été des plus fatigante.

Bali et son humidité légendaire

Pas besoin de faire le moindre effort, à peine passé les portes de l'aéroport, l'humidité ambiante nous rappelle à quel point le coton peut se saturer d'humidité. Heureusement, notre nouveau backpack est PROPRE, la climatisation marche et il y a une piscine à 1 mètre de la chambre. Que demander de plus?

 

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