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Le néophyte se prend au jeu

Il faudrait, paraît-il, avoir vécu une Fête fédérale de lutte au moins une fois dans son existence. Plongée, l’espace de deux jours, dans un monde parallèle, entre découvertes et spécialités.

28 août 2016, 23:40
/ Màj. le 29 août 2016 à 00:01
Sicht in die Arena am Eidgenoessischen Schwing- und Aelplerfest (ESAF) Estavayer2016 in Payerne, am Sonntag, 28. August 2016. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott) SCHWEIZ SCHWINGEN EIDGENOESSISCHES 2016 ESTAVAYER

Vincent Bürgy

«C’est quelque chose à faire une fois dans sa vie.» C’est en me repassant les paroles d’Albert Bachmann, président du comité d’organisation de la Fête fédérale de lutte d’Estavayer 2016 et ancien syndic d’Estavayer-le-Lac, que je franchis samedi au petit matin l’immense portique d’entrée de l’événement.

La taille de la manifestation, dont le site couvrait une surface de 90 ha, et surtout l’arène de 52016 places, m’en bouchent tout de même un coin. C’est justement vers celle-ci que convergent déjà la majorité des spectateurs. D’emblée, une observation s’impose: les francophones ne sont pas légion. On parle le Bärndütsch ou le Züridütsch, mais pas tellement le français. Ce constat s’applique également aux stands de nourriture posés à proximité de l’enceinte principale: une enclave alémanique, des menus au personnel des stands

L’ardeur du public

Alors que les premiers rayons du soleil inondent l’arène, les amateurs de lutte commencent à gagner...

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