Les preuves sont donc illicites, rapporte «Le Quotidien jurassien» d'aujourd'hui.
Sur les 28 personnes concernées par l'affaire, aucune n'a été licenciée, mais trois ont démissionné, neuf ont été rétrogradées, onze ont été amendées et une blâmée, rappelle le journal.
Trois ont recourru auprès de la Commission de protection des données, qui leur a donné raison.