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Le «projet Louis XIV» veut passer à la guillotine la tête de l’ACS

Après le renvoi du directeur vendredi, c’est au tour du président de trembler.

21 juin 2016, 23:53
/ Màj. le 22 juin 2016 à 00:01
Mathias Ammann, ACS Zentralpraesident, und Carlos Vidal, Mitglied ACS Direktionskomitee, von links, informieren ueber interne Turbulenzen im Automobilclub der Schweiz (ACS) am Dienstag, 21. Juni 2016 in Bern. (KEYSTONE/Lukas Lehmann) SCHWEIZ ACS AUTOMOBILCLUB

Visé par une tentative de putsch, Mathias Ammann, président de l’Automobile club de Suisse (ACS), tente de rétablir le calme. Le club va mettre en place des mesures d’urgence afin de remettre de l’ordre en son sein.

L’heure n’était pas franchement à la rigolade hier à Berne, lors d’une conférence de presse organisée en catastrophe par l’ACS. En guerre contre plusieurs chefs de section et sous le coup d’une plainte pour faux dans les titres et gestion infidèle des affaires, Mathias Ammann souhaite rétablir le calme.

Trouver un successeur, mais pas n’importe qui

Le président de l’ACS restera à la tête du lobby routier jusqu’à la clarification totale des attaques dont il est la cible. Un laps de temps qui permettra également de remettre de l’ordre et de préparer sa succession, à laquelle il ne s’opposera pas.

Il a néanmoins souligné qu’il ne pouvait accepter de se retirer sous la...

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