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Le smog fait mal au Tessin

Malgré une diminution du phénomène, l’ONG Greenpeace exige des dispositions plus incisives contre les poussières fines.

05 nov. 2017, 23:24
/ Màj. le 06 nov. 2017 à 00:01
ARCHIV -- Ueber den Daechern der Stadt Bern steigt am fruehen Mittwoch, 8. November 2006 aus zahlreichen Kaminen Heizungsrauch auf. Die geplante CO2-Abgabe auf Heizoel soll nun definitiv gestaffelt und in Abhaengigkeit von der Luftverschmutzung erhoben werden. Der Staenderat ist am Donnerstag, 14. Dezember 2006, mit 26 gegen 15 Stimmen dem Konzept des Nationalrats gefolgt und hat neuen Verzoegerungsmanoevern eine Absage erteilt. Ohne Chance blieb der Versuch der vorberatenden Kommission, die Einfuehrung der Abgabe an die Preisentwicklung beim Heizoel zu koppeln. (KEYSTONE/Alessandro della Valle) SCHWEIZ SESSION CO2 ABGABE

Le Tessin a connu cette année son mois d’octobre le plus sec en 47 ans. Déjà, le gouvernement cantonal a dû imposer des mesures d’urgence pour faire face à la situation alarmante causée par les poussières fines (PM10). Entre le 20 et le 23 octobre, au sud du Tessin, la limite de vitesse a été fixée à 80 km/h sur certains axes routiers, les édifices de l’administration cantonale ont dû se contenter d’une température maximale de 20 degrés et les véhicules lourds ont été interdits sur l’autoroute et certaines routes secondaires.

L’hiver dernier, le déploiement de ces dispositions extraordinaires e...