L’association romande des hôteliers (ARH) ne cache pas sa colère. Les hébergeurs commerciaux clandestins, comme Airbnb, doivent être soumis aux mêmes réglementations.
La plateforme de réservations n’est pas «un ennemi», souligne l’ARH. La concurrence est bienvenue, pour autant qu’elle soit loyale. Or l’égalité de traitement entre hôteliers et hébergeurs clandestins n’est pas respectée. Ces loueurs ne paient ni impôt sur leurs revenus, ni TVA, ni taxe de séjour. Ils ne remplissent pas de fiches d’arrivée et ne sont pas soumis aux normes antifeu. En Suisse, Airbnb compte plus de 35 000 ...