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Les réseaux sociaux, pipelines pour le djihad? C’est plus compliqué

De nombreux chercheurs se penchent sur les jeunes qui se radicalisent.

19 nov. 2015, 23:57 / Màj. le 20 nov. 2015 à 00:01
epa03177135 The logos of the Facebook (L) and Instagram (C) apps are pictured on an IPhone in Cologne, Germany, 09 April 2012.The social network Facebook, flush with cash as the company steers toward public trading scooped up the Instagram mobile photo-sharing application for about 1 billion dollars in cash and stock, on 09 April 2012.  San Francisco, USA, based Instagram, with more than 30 million users, is one of the most popular free photo-sharing application on Apple's App store.  EPA/Rolf Vennenbernd GERMANY FACEBOOK INSTAGRAM

Les efforts pour inhiber l’attrait du djihad ne semblent pas porter leurs fruits. Début 2015, les gouvernements ont mis en évidence le danger que les réseaux sociaux faisaient planer au-dessus d’une frange de la jeunesse déboussolée: le recrutement de combattants y tourne à plein régime. Le 13 novembre, c’est la pire crainte des spécialistes de sécurité qui s’est matérialisée, lorsque des jeunes, qui s’avèrent être essentiellement français et belges, ont déchaîné leur violence sur Paris.

Dans les filets du djihad

Dans «Comment Facebook m’a mis sur la voie du Djihad», Gurvan Kristanadjaja, du site «Rue 89», montre une fois encore qu’un profil sur Facebook, un choix d’ami un peu orienté et la recherche de réponses à des questions existentielles vaguement dirigées vers la spiritualité, peut conduire, en quelques jours, à rentrer en contact avec des militants djihadistes. Le compte rendu détaillé de son approche est glaçant.

Et les...

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