Il n’était pas le premier ciblé par les «Football Leaks» dans la presse du week-end, mais Michael Lauber en est une «victime collatérale». Le procureur général de la Confédération risque d’être mis sur le gril par les commissions de gestion, la haute surveillance du Parlement fédéral, à la suite des révélations sur les pratiques troubles du sport-roi publiées par des dizaines de médias européens, dont les journaux suisses de Tamedia.
Pourquoi? Parce que par deux fois, en 2016, il rencontre le président de la Fédération internationale de football (Fifa), le Haut-Valaisan Gianni Infantino. Et ce,...