Amedy Coulibaly, tueur de la policière de Montrouge et de quatre juifs dans un supermarché kasher de Paris, se revendiquait d'un mandat de l'État islamique, mais son réseau de soutien logistique semble se résumer à un quarteron de malfaiteurs de modeste envergure. Des délinquants de cité qui ont croisé le chemin du terroriste dans sa jeunesse à la Grande Borne à Grigny ou à Fleury-Mérog is, lorsque l'autoproclamé "soldat du Califat" s'illustrait encore par des braquages et la consommation de cannabis.
C'est en tout cas ce qui filtre du profil des quatre présumés complices déférés mardi, en v...