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Un "effet Marie" pour les expertises psychiatriques

Après le meurtre de Payerne, les règles d'attribution des analyses psychiatriques changent et excluent la délégation.

20 sept. 2013, 00:01
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A près le meurtre de Payerne (VD), les règles d'attribution des expertises psychiatriques ont été changées. Le Centre universitaire romand de médecine légale (CURML) ne donne plus des mandats à l'extérieur et n'accepte plus des autorités judiciaires que des expertises réalisables au sein des HUG, a indiqué, hier, Patrice Mangin.

" On ne délègue plus ", a expliqué le directeur du CURML, confirmant des informations de "24 heures". Dans le cas de Claude D, assassin présumé de Marie, l'expertise psychiatrique controversée parlant de " risque de récidive faible à court terme " a été sous-traitée à un psychiatre indépendant.

Officiellement, le travail avait été confié à l'unité de psychiatrie légale du CURML par l'Office vaudois d'exécution des peines (OEP), qui voulait un regard neuf sur le cas, puisque les expertises précédentes avaient été menées au Chuv.

Face à la forte demande d'examens, " nous avons recouru à des psychiatres extérieurs...

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