Il ne semble plus possible de l’interviewer, Thomas Aeschi, un des trois candidats officiels de son parti, l’UDC, à l’élection au Conseil fédéral du 9 décembre prochain. C’est la direction nationale du parti qui répond pour lui: non, le candidat n’aura pas le temps, ni cette semaine ni la suivante. En revanche, ses collègues et connaissances sont intarissables: Thomas Aeschi est manifestement un sacré phénomène. De la gauche à la droite de l’échiquier politique, il ne laisse personne indifférent.
Il a toujours une allure d’adolescent matheux. Pourtant Thomas Aeschi, qui, en bon économiste form...