Joël Mesot préside l’Ecole polytechnique fédérale de Zurich depuis une année. Une année tumultueuse: après avoir, en mars, décidé de révoquer une professeure, une première dans l’histoire de la Haute Ecole, le Genevois d’origine fribourgeoise a présenté des réformes pour, notamment, instaurer une «culture de l’erreur» et pour former les professeurs à l’accompagnement des doctorants. Un autre cas d’abus de pouvoir, détecté en 2018, a du reste fait l’objet d’une enquête administrative dont les conclusions ont été présentées hier.
Votre première année à la présidence de l’ETH – vous insistez sur l...