Le mécanisme qui détermine le sexe d'un embryon est complexe. Des chercheurs genevois sont parvenus à lever un coin de voile sur ce mystère en mettant en avant le rôle capital joué dans ce processus par l'insuline et deux autres hormones appelées IGF1 et IGF2. Pour arriver à ce constat, les chercheurs de l'Université de Genève (UNIGE) ont inactivé génétiquement les récepteurs à l'insuline et aux IGFs dans des embryons de souris transgéniques. Les gonades de ces embryons se sont alors montrées incapables de se développer en testicules ou en ovaires, a relevé jeudi l'UNIGE. Chez les mammifères, le développement sexuel est un long processus commençant avec la transmission par le spermatozoïde d'un chromosome X ou Y qui détermine le sexe génétique. ATS
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