Le mouvement demande un correctif de la brochure via communiqué de presse ainsi que dans sa version électronique, a indiqué mardi à Keystone-ATS Manuel Alonso Unica, son président, confirmant une information de la «Tribune de Genève». Il ne demande pas l’annulation de la votation, cette décision revenant à la Chambre constitutionnelle, a-t-il précisé.
Les défenseurs de propriétaires de chiens estiment que l’espace donné aux arguments des uns et des autres est inégal. Leur texte est bien plus petit que celui des partisans de l’impôt. Aucune information n’est donnée sur le rôle du chien aujourd’hui.
Concernant les coûts des chiens pour les collectivités, ils reprochent au Conseil d’Etat et à ceux qui veulent maintenir cette taxe de mettre en avant les services consommés par les propriétaires de chiens, sans pour autant les chiffrer. Or nombreuses sont les communes à ne pas prélever de centimes additionnels à cette fin.