La Côte, plus qu'un journal, un lien fort!

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Une série éditoriale qui décortique l'ancrage d'un média dans sa région. Episode n°1 : C'est quoi La Côte ?

Un vecteur d’unité

Comme le vignoble dont il partage le nom, le quotidien La Côte couvre une vaste région à cheval sur deux districts et contribue à en valoriser la richesse et la diversité. Ses lecteurs connaissent bien sa mission puisqu’ils y participent activement.

D'abord Journal de Nyon, puis Quotidien de La Côte et enfin La Côte, ce média couvre l’actualité d’une région depuis 130 ans, participant activement au récit identitaire d’un territoire pluriel à cheval sur deux districts, Nyon et Morges. Sa force, peut-être plus qu’un autre, c’est d’être partout. «Il est de toute les fêtes, comme les bricelets», dit-on de lui. Aux assemblées générales et communales, on salue La Côte. Ses journalistes sont toujours les premiers sur le terrain. Il faut dire que l’information leur arrive vite, puisqu’elles et ils sont toutes et tous enfants et habitant.es de la région. Les questions que se posent les lectrices et lecteurs à propos d’un accident ou de la construction d’un nouveau bâtiment, les journalistes de La Côte se les posent aussi à titre privé. Ils sont ultra-connaisseurs de leur région.

LA FORCE D’UN NOM

Ses histoires fédèrent et tissent des liens entre des personnes et entre des communautés qui ne se sentent pas forcément liées. La région de La Côte n’est pas un canton, elle réunit, par la force d’un nom, des territoires aux identités distinctes. Les villageois du pied du Jura ne se sentent pas proches des citadins du bord du lac, et les Morgiens se réfèrent plus à Lausanne qu’à Nyon. Et pourtant, tout ce monde lit La Côte et apprend à connaître ses voisins et à s’y intéresser. Le titre franchit les districts avec naturel, entraînant avec lui ses lecteurs dans la force de sa vision communautaire. Début 2018, le quotidien passe en web first, avec un contenu publié en priorité sur sa plateforme digitale. Mais le défi n’a pas changé. Comment intéresser plus de gens à l’actualité locale? Comment communiquer avec la jeunesse de cette région? Les réponses à ces questions sont collectives. En effet, le média doit continuer à s’adapter aux nouvelles habitudes et à proposer des contenus de grande valeur à ses lecteurs. Mais il revient aux habitantes et habitants ainsi qu’aux entreprises de la région de soutenir le travail qu’implique cet engagement, et la richesse que représente une information fiable et qui les concerne directement.

Carte d'identité

NAISSANCE    Le 22 décembre 1892, paraît le premier Journal de Nyon et des districts de La Côte.

MARIAGES     En 1987, le Journal de Nyon fusionne avec L’Ouest Lémanique, Morges Hebdo et Le Courrier de La Côte pour devenir Le Quotidien de La Côte.

ENFANT         Dès 2018, La Côte compose l’intégralité de ses contenus d’abord sur ses plateformes numériques.

SUCCÈS       27’000 lecteurs quotidiens de l’édition imprimée et 254’000 visiteurs uniques par mois sur les plateformes numériques.

FAMILLE       18 personnes (journalistes, photographes, community manager…) oeuvrent à chacune des cinq éditions hebdomadaires

INTERVIEW

 LAURA LOSE, JOURNALISTE À LA CÔTE, PARTAGE SON ATTACHEMENT À  SA RÉGION

«La Côte contribue à faire aimer cette région»

Laura est de Crassier. Après ses études de journalisme à Neuchâtel, un passage à Arcinfo, à la RTS et au Matin, elle est de retour dans la région, où elle écrit pour La Côte depuis cinq ans. Elle aime travailler pour sa région de coeur, et le titre qui l’emploie lui offre la possibilité de la redécouvrir sans fin, à travers la diversité des sujets qu’elle couvre quotidiennement.

Comment décririez-vous La Côte?

C’est un média proche des gens qui raconte des histoires vraies, qu’il est le seul à connaître et à relayer. Sa principale force réside dans sa proximité avec les gens dont il parle. Il est attaché à sa région et la fait vivre en participant à la vie locale et en suscitant le débat.

Quel est le défi originel que La Côte doit relever au quotidien?

Créer du lien entre des personnes ou des communautés qui ne partagent pas un même sentiment d’appartenance. Les gens de La Côte ne se sentent pas de La Côte, ils viennent de Morges ou de Nyon, d’un village au pied du Jura ou d’une petite commune du bord du lac. Comment intéresser ces personnes à la politique de leurs voisins ou à des événements qui ne se passent pas sous leurs fenêtres? Ce sont les questions que l’on se pose tous les jours.

Pouvez-vous nous décrire la structure du journal?

C’est un journal généraliste. Les journalistes basés à Nyon et Morges réalisent les articles des rubriques locales et sportives. Chacune et chacun d’entre nous a des communes attitrées, ce qui nous laisse beaucoup de liberté pour traiter toutes sortes de sujets. On essaie d’assurer un équilibre entre des enquêtes, des portraits, des interviews, des sujets politiques approfondis ou des histoires humaines intéressantes. La priorité est donnée aux sujets qui pourraient avoir un impact dans la vie des gens.

En tant que journaliste, quelle expérience est-ce de travailler pour ce titre?

Pour moi, c’est un rêve qui s’est réalisé: travailler dans cette région et participer à son épanouissement… Alors que j’y ai grandi, que j’y vis et y travaille, je découvre encore de nouvelles choses, des personnes et des lieux incroyables. Ça me fascine. Mon métier me met en contact avec des gens tellement différents qui m’apprennent des choses dont j’ignorais tout. On pense souvent qu’il faut aller loin pour être surpris ou faire des découvertes, mais en fait, pour peu qu’on se donne la peine de regarder, autour de soi c’est infini. On nous demande souvent si on a toujours des choses à raconter dans le journal, et honnêtement oui. On ne doit jamais se forcer pour trouver des sujets. Même au contraire, on est toujours contraints de faire des choix difficiles.

Y a-t-il des aspects plus compliqués que d’autres?

Rester indépendant malgré la proximité que l’on a avec nos sujets. Travailler avec l’actualité de gens qu’on connaît, c’est un sacré enjeu. D’abord, cette proximité laisse parfois penser à nos proches qu’on aurait le devoir de parler d’eux. On doit toujours garder en tête l’intérêt du lecteur et non celui du sujet, et ça n’est pas facile tous les jours. Et puis, le fait de vivre dans la région que l’on couvre nous amène à croiser nos interlocuteurs dans la rue, ou le soir au restaurant. L’aspect positif est qu’on partage les mêmes problématiques qu’eux, personnellement. On sait bien de quoi on parle et on obtient aussi des informations plus facilement.


«La Côte participe à la démocratie en relayant l’engagement et les actions des différents acteurs sociaux et politiques de la région.»


Quel rôle joue le journal concrètement dans la vie de la région?

J’espère que nos articles inspirent les gens, les motivent à se lancer dans de nouveaux projets… Je crois que La Côte participe à créer des débats et à relier les personnes entre elles. Si le proverbe «Plus on connaît, plus on aime» est vrai, alors La Côte contribue à faire aimer cette région et les multiples communautés qui la composent, en les faisant se rencontrer ou mieux se connaître. C’est aussi ça la force d’un journal régional: l’information qu’il publie touche de manière très personnelle ses lecteurs, puisqu’il s’agit de leur environnement direct. Cela leur offre des éléments pour agir localement, à leur échelle.

La presse régionale est-elle un genre de service public?

Nous ne fonctionnons pas grâce à une redevance payée par toutes et tous, comme c’est le cas de la RTS. Nous sommes une entreprise privée, mais notre mission est bien un service au public. La Côte participe à la démocratie en relayant l’engagement et les actions des différents acteurs sociaux et politiques de la région. Ce média porte les voix qui s’expriment au sujet de la communauté et de la manière de vivre ensemble. Et il explique aussi les décisions prises, les enjeux d’une initiative, etc. La politique, ça n’est pas seulement les votations fédérales. Elle se passe aussi juste à côté de chez nous, dans nos communes.

Qu’apporte le numérique à la force du titre et en quoi cela impacte votre métier?

Cela nous offre la possibilité de publier l’information plus vite et aussi de toucher un lectorat différent, plus large et peut-être plus jeune aussi. Certaines personnes ne lisent que la version papier et d’autres que la version numérique. C’est bénéfique. On adapte notre manière d’écrire au web pour que ce soit le plus accessible possible sur tous les supports.

Racontez-nous une anecdote de la présence du titre dans la vie sociale des gens?

J’avais fait un article sur un artisan à Le Vaud qui fabrique des surfs en bois. Et deux ans plus tard, j’apprends que cet homme reprend l’entreprise d’un autre Vauli qui, lui, fabrique des arcs en bois. L’histoire est originale, alors nous décidons d’en faire un article. Et là, j’apprends qu’ils se sont connus grâce à mon premier sujet. C’est une preuve réjouissante que le journal contribue réellement à relier les gens entre eux.


Ce qu'en disent les lecteurs

«Je lis La Côte tous les matins à 6 h 30 en version papier. C’est le seul média que je lis, et je ne regarde pas la télé. J’y trouve l’essentiel de l’actualité ainsi que les informations régionales utiles à mon activité professionnelle ainsi que pour mes loisirs.»

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Thierry Cornaz, architecte, Nyon

«Je m’intéresse particulièrement aux actualités des autres communes. Je franchis les frontières de mon district grâce à La Côte. C’est important que notre région ait un journal qui la fasse vivre et connaître grâce à ses articles de proximité et ses journalistes locaux.»

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Chantal Maurer, Syndique de Mont-sur-Rolle

«Pour moi, c’est un artisanat local, une richesse. La Côte parle de nous et participe à cimenter le tissu régional. Grâce à ce journal, je découvre des personnalités, des métiers ou, simplement, ma région à travers des photos insolites.»

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Dr Alexandre Ronga, médecin, Begnins

Au coeur de l'économie régionale

Entre service et information

La presse régionale remplit une mission de service public d’informer et de relier les gens et les communes d’une région. C’est donc le média idéal pour communiquer en direct avec la population. Johann Frain, directeur et fondateur de La Boîte O Services, à Perroy, l’a bien compris.

Fondée en 2010, La Boîte O Services est une organisation privée d’aide et de soins à domicile (OSAD) active dans le canton de Vaud. Son directeur, Johann Frain, est installé à Aubonne depuis vingt-et-un ans. Le quotidien La Côte lui a permis de découvrir la région, sous toutes ses facettes, autant politique, sociale, sportive, etc. Alors, quand il a lancé son entreprise, c’est sur ce média qu’il a compté.

UN PARTENAIRE DE PROXIMITÉ

«La Côte offre un service de proximité, tout comme La Boîte O Services. Lorsque nous souhaitons informer la population locale de nos activités, le journal est un média de choix. Nos clients lisent La Côte et, comme nous, apprécient la qualité et la fiabilité des informations qu’ils y trouvent. Communiquer à travers ce média nous permet de toucher les gens de manière plus personnelle, avec un message qui porte.»

MIEUX CONNAÎTRE LA RÉGION

«A titre personnel, La Côte me tient informé des actualités de la région. Je fais partie du conseil communal d’Aubonne et la politique des communes avoisinantes m’intéresse. Je suis aussi au comité du Tennis Club d’Aubonne et apprécie les articles sur le sport régional et les activités associatives. Le titre offre une bonne vision de ce qui se passe. On sent l’engagement de ses journalistes.»

Johann Frain, directeur et fondateur de La Boîte O Services, à Perroy.

Ne manquez pas les autres épisodes de cette série éditoriale «La Côte, plus qu'un journal, un lien fort».

Episode 2 : «Qui fait La Côte?»:

Une chaîne de compétences à votre service

Plongée au cœur du Centre d’Impression Romand de Monthey

Actualité papier et numérique: Les questions des lecteurs

Source : Un article produit par l’équipe qui prend soin de vos abonnements au quotidien. 

Textes: Leïla Klouche.   

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