Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Les banques dénoncent des mythes persistants

Les banques suisses s’offusquent d’être tenues responsables de bien des maux.

09 déc. 2015, 23:34
/ Màj. le 10 déc. 2015 à 00:01
Eine Uhr bei der UBS am Zuercher Paradeplatz steht auf fuenf nach zwoelf, am Mittwoch, 25. Februar 2009 in Zuerich. (KEYSTONE/Walter Bieri) SCHWEIZ BANK UBS

Les banques en Suisse estiment être accusées à tort par la communauté internationale, qui les soupçonne injustement selon elles de laxisme dans la lutte contre le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme ou l’évasion fiscale.

Les banques en Suisse, qui gèrent un quart de la fortune mondiale, font «l’objet de mythes», et la «réalité se présente sous un autre jour», a déclaré hier devant la presse étrangère à Genève Claude-Alain Margelisch, directeur de l’Association suisse des banquiers. Selon lui, il y a trois mythes à propos des banques et de la Suisse: qu’elles ne sont pas assez surveillées, qu’elles «facilitent le blanchiment d’argent pour les criminels», et que la Suisse «accueille principalement des avoirs non déclarés».

Pas la réalité

Pour l’ASB, tous ces «mythes» ne correspondent pas à la réalité. Concernant le premier «mythe», la Suisse, a indiqué Claude-Alain Margelisch, «a été le premier pays...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias