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Dans sa caverne d’Ali Baba, Willy Spycher collectionne les jeux anciens

Entrer chez Willy Spycher, c’est arriver dans un monde merveilleux. Chaque fois que le regard se pose à un endroit, même pour la vingtième fois, il découvre des objets qu’il n’avait pas vus. Cet habitant d’Apples collectionne beaucoup de choses, dont des jeux anciens.

29 déc. 2018, 11:00
Dans la maison et particulièrement le grenier de Willy Spycher, à Apples, chaque recoin est occupé par un objet chiné ici, un autre trouvé par-là.

«Depuis que j’ai l’âge de 15 ans, je ruclone», lâche d’entrée Willy Spycher, bientôt 73 ans. Pour ceux dont le langage vaudois n’est pas une habitude, entendez par là que cet habitant d’Apples chine depuis longtemps. Ce que cet attachant personnage cherche dans les brocantes, magasins de seconde main et parfois à la déchetterie, ce sont des articles qui montrent des signes d’usures. «Ainsi, pour moi ils ont une histoire, c’est beau». Du coup, il collectionne «plein de combines. Mon dernier dada, ce sont les orgues de barbarie», continue-t-il.

La maison de Willy Spycher regorge d’objets. Ici un train qui slalome entre des maisonnettes en plâtre avant de traverser un mur, là des dizaines de voitures de Tintin installées près des figurines de Corto Maltese, là-bas des instruments de musique ramenés de ses voyages ou des articles qu’il a modifié lui-même. Par exemple, dans sa cour intérieure, il a accroché...

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