Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

"Je dois aller chercher en moi beaucoup de violence"

L'infâme Jean-Gabriel Cuénod passe de la radio à la scène. Rencontre avec Didier Charlet, l'homme qui se cache sous sa soutane.

03 oct. 2014, 00:01
data_art_8442036.jpg

"Hosanna! Dans la joie"

Théâtre de Beausobre/Morges

Sa 11 octobre/20h

www.beausobre.ch

aguenot@lacote.ch

Avec ses prêches ultra réac' et sa voix vicelarde, Didier Charlet, alias Jean-Gabriel Cuénod, est devenu un personnage incontournable de la radio romande. Désormais, il officie aussi sur les planches. Avec "Hosanna! Dans la joie", le célèbre diacre de Chastavel convie le public à une messe politiquement incorrecte et diablement jouissive. Une heure durant, on y chante, on y prie, on y danse, le tout au nom de l'ultra-libéralisme et de l'homophobie. Une horreur, qui caricature à l'extrême la cruauté ordinaire du citoyen moyen. Pour nous, Didier Charlet revient sur la genèse de ce one man show et de son personnage.

Suite au succès du spectacle de "120 secondes", c'était une évidence de faire monter Jean-Gabriel Cuénod sur les planches?

Oui. Cela faisait longtemps que Vincent Veillon et Vincent Kucholl (ndlr: le duo de "120 secondes") m'encourageaient à...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias