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A Saint-Prex, accroupie devant la table, Mireille Piguet ausculte avec délicatesse le chien couché devant elle avant de poser son diagnostic, puis de traiter l'animal par l'ostéopathie. Alors qu'il y a quinze ans, les vétérinaires ostéopathes, comme elle, étaient considérés comme des marginaux, ils ont enfin vu leur spécialité reconnue, fin 2012, par l'Association vétérinaire suisse pour les médecines alternatives et complémentaires, l'une des sections de la Société des vétérinaires suisses (SVS).
Evolution des mentalités
L'ostéopathie animale fait partie des méd...