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Les "vieux" nés au siècle passé, durant les Trente Glorieuses, se souviennent de ce temps heureux où l'on fêtait Noël à l'école enfantine, pour les petits, ou dans les premières classes primaires, pour les "grands". On apprenait les chants de circonstance - "Petit papa Noël" voisinait avec "Il est né le divin enfant" -, qu'on reprenait ensuite sous le sapin, face aux "mémés" et aux "tatas" attendries, mais on était fier, aussi, de monter sur la scène pour jouer les personnages du récit biblique; les uns se glissant sous la toison laineuse d'un agneau, les moins chanceu...