" Un jour, j'ai emmené une Genevoise, mignonne et coquette, dans sa famille d'accueil. Depuis Delémont, on avait encore trente minutes en voiture. Au bout du chemin, il y avait la ferme , raconte le sourire aux lèvres Jean-Yves Riand. Au fil de la route, je voyais la fille se décomposer. Puis elle a dit ''mais on est au bout du monde?!''."
A peine avait-il quitté la ferme jurassienne, le responsable romand de Caritas montagnards recevait un téléphone. L'adolescente était en pleurs et voulait rentrer. Finalement, elle a accepté de rester et son séjour s'est bien passé.
"Le choc est parfois sa...