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Le sourire de Jean-Robert Probst: les nouveaux outils

L’auteur perrolan nous livre un petit billet d’humeur. Car ce n’est pas parce que nous sommes confinés que nous ne pouvons pas rigoler.

23 avr. 2020, 14:00
Jean-Robert Probst se fend d'un petit billet d'humeur, avec humour.

Dans les prochaines semaines, nous allons devoir apprendre à vivre autrement. Avec la réouverture progressive des établissements, il faudra forcément faire preuve d’imagination et créer de nouveaux outils.

Par exemple, comment observer une distance de deux mètres chez un coiffeur? Tout simplement, en transformant les objets existants. Pour couper les cheveux, il suffit de s’inspirer des cisailles à rallonge utilisées pour la taille des arbres. Idem pour les peignes et les rasoirs (prévoir quelques sparadraps).

Dans les ongleries, on utilisera le même procédé pour la coupe des ongles (attention les doigts!) On préférera les limes fixées au bout des cannes à pêche.

Le problème risque d’être un peu plus ardu lorsque les restaurants rouvriront leurs portes. Les serveuses devront apprendre à manipuler des plateaux fixés à de longues perches. Quant aux clients, ils utiliseront des pailles en bambou pour siroter leur apéro, en pratiquant une ouverture dans leurs masques. Ce sera plus compliqué pour déguster les filets de perches. En purée, même avec un filet de citron, ça n’a pas tout à fait la même allure.

Jean-Robert Probst
 

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