samantha lunder
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Se coucher toujours plus tard, pour se lever encore plus tôt. Le rythme des jeunes gymnasiens n’est pas de tout repos, et pourtant de nombreux étudiants ne semblent pas prendre le temps de dormir suffisamment. Léa Ruffieux et Aline Sadowski, 18 ans, se sont penchées de plus près sur le phénomène. Ces deux élèves, en troisième année au Gymnase de Morges, se sont questionnées sur les conséquences négatives du manque de sommeil chez les gymnasiens dans le cadre de leur travail de maturité.
Alors qu’elles l’ont terminé depuis bientôt six mois, leur recherche revient entre leurs mains cette fin de semaine. En effet, leur travail a été sélectionné parmi les finalistes du 50e Concours national de «La science appelle les jeunes». Les deux gymnasiennes sont parties jeudi à Brugg, en Argovie, où elles tiendront un stand pour présenter leur étude aujourd’hui et demain.
Une recherche rigoureuse
Au...