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Politique, voyages, chanson: les 1000 vies du président de l'Entente morgienne

Cela faisait près d’un quart de siècle qu'il siégeait au sein du Conseil communal de Morges. A trois mois de la fin de la législature, Eric Décosterd a décidé de raccrocher. Portrait d’un globe-trotteur touche-à-tout.

07 janv. 2021, 17:00
Eric Décosterd s'est installé à Morges en 1990, pour ne plus jamais en repartir. Dans la ville où, jadis, son père avait effectué son apprentissage à la poste avant de travailler pour la Confédération, puis pour Nestlé.

Et si vous entriez au Conseil? L’aventure a démarré comme ça, le jour où Pierre Fülleman a sonné chez lui. «C’est peut-être un bon moyen de faire connaissance avec la ville», s’est dit Eric Décosterd. Certes, mais seulement dans les rangs de l’Entente morgienne, ce parti «ni de droite, ni de gauche, mais de Morges». Il l’assure: «Si les radicaux étaient venus, j’aurais dit non.» Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir été élevé dans cette veine-là. «Mon père était ami avec Jean-Pascal Delamuraz et Paul Chaudet. Mais moi, ça ne m’intéressait pas.»

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A l’époque, Eric Décosterd est installé à Morges depuis quelques années. Enfin, serait-on tenté de dire. C’est qu’il a vu du pays, et pas qu’un peu. Fils unique d’un employé de la Confédération, le petit Eric vit ses premières années à Paris,...

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