Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est une histoire de chiens qui a donné naissance à l’Ile aux oiseaux. Pour le comprendre, il faut remonter aux années 1990. A l’époque, les berges préverengeoises étaient déjà connues pour servir de spot durant leur migration aux limicoles, ces échassiers en quête de rivages aux eaux peu profondes. Et cela faisait des années que l’ornithologue Lionel Maumary sillonnait le coin. Mais il y avait un os, et un gros. «Le matin, si un ...
Réservé aux abonnés
Préverenges, l’île aux trésors des ornithologues
Les volatiles les plus incroyables se succèdent sur l’Ile aux oiseaux, attirant des observateurs venus de toute la Suisse et de l’étranger. Alors qu’une maison accueillera bientôt les promeneurs, retour sur une incroyable épopée qui dure depuis près de vingt ans.

Les ornithologues Lionel Maumary (à g.) et Franck Lehmans (à dr.) devant la Maison de l'Ile aux oiseaux, qui devrait ouvrir ses portes au public d'ici à cet été.
Cédric Sandoz
Pour consulter le détail de cet article vous devez être abonné
Déjà abonné ?
Se connecter
- Accèdez à l’édition 100% digitale, aux suppléments, aux newsletters, aux enquêtes et dossiers de notre rédaction
- Ne ratez plus rien ! Personnalisez votre Une, vos newsletters et vos alertes sur vos sujets d’intérêts
- Soutenez une presse locale de qualité
Je m'abonne
à partir de CHF 9.- par mois