Démarche originale que celle menée par Tania Emery et qui lui vaut de montrer présentement son univers artistique à l’Espace 81. A cheval sur 2015 et 2016, la photographe saint-preyarde a fixé dans son objectif une image quotidienne: 366 en l’occurrence, année bissextile oblige.
«Un travail de deuil qui m’a permis de trouver la paix»
Ce défi, qui coïncide avec la période charnière des quarante ans de l’artiste, se veut «une réponse, explique-t-elle, sans s’appesantir sur le sujet «à une période existentielle tourmentée, marquée par des questionnements personnels. J’ai accompli un travail de deui...