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A Saint-Cergue, on va réfléchir à d’autres interactions avec le vivant

Saint-Cergue accueille cet été une «Université du Vivant». La rencontre veut diffuser à large échelle des savoir-faire et des savoir-être pour régénérer le vivant sous toutes ses formes. Une quarantaine d’intervenants animeront ce premier rendez-vous, qui est ouvert au public du 17 au 21 août.

10 août 2020, 15:53
Les participants se demanderont comment soigner la terre et avoir une relation plus harmonieuse avec le vivant (image prétexte).

«On sait aujourd’hui qu’il est primordial d’instaurer des pratiques régénératrices et bonifiantes pour le vivant au lieu de se contenter d’appliquer les modèles basiques de développement durable qui visent uniquement à limiter les impacts de nos activités», expliquent les organisateurs dans un communiqué.

La rencontre se déroulera en deux temps: la première étape, réservée à des spécialistes de tous horizons, vise à créer des réseaux et à concevoir un programme annuel de diffusion de leurs savoirs. La seconde, ouverte au grand public, propose ateliers et échanges. Quelque 300 personnes par jour pourront être accueillies.

Comment développer de nouveaux modes d’habitat légers et respectueux de l’environnement? Comment s’inspirer des sagesses des peuples indigènes? Comment régénérer la terre? Ces questions, et beaucoup d’autres, seront abordées au domaine de Monteret, à Saint-Cergue. La rencontre est organisée par la Fondation pour le Vivant et l’association NiceFuture.

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