propos recueillis par gregory Balmat
gregory.balmat@lacote.ch
La mission de Maï Kolly n’est pas aisée: remplacer Laurent Nicolet, l’un des fondateurs du Jval Openair et programmateur de la manifestation. Et cette première mouture concoctée par la Nyonnaise démontre que la jeune femme a du goût. Entretien.
Maï Kolly, comment devient-on programmatrice d’une manifestation comme le Jval?
Cela fait quelques années que je travaille dans le staff du festival. Nous avons toujours beaucoup discuté musique avec Laurent. Et mon attachement au Jval a aussi pesé. J’ai en tout cas beaucoup de chance que le comité m’ait accepté.
Un programmateur a-t-il une signature? Ses choix sont par essence subjectifs...
Je pense que oui. Maintenant, c’est ma première année, il est sans doute un peu tôt pour que ma patte transparaisse. Je suis en tout cas très attachée à la dimension live des groupes que j’ai sélectionnés. J’ai d’ailleurs essayé de tous les voir...