La députée relaie le propos de la Fondation Missing Children, de Saint-Sulpice, dont la fondatrice, Irina Lucidi, avait connu, en 2011, un drame familiale impliquant l'enlèvement de ses deux filles.
L'un des enjeux de cette interpellation consiste à modifier le texte de loi pour qu'il ne laisse plus d'équivoque là où, aujourdhui, selon les interprétations faites, l'alerte enlèvement n'est pas déclenchée si le ravisseur soupçonné est l'un des deux parents de l'enfants.
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