Début mai, l’audience avait été suspendue. Tant l’avocat du prévenu que le Tribunal correctionnel de l’arrondissement de La Côte souhaitaient connaître plus précisément les liens de causalité entre alcoolémie et responsabilité. L’expertise judiciaire avait conclu à «une diminution moyenne de la responsabilité» du prévenu.
L’expert confirme ses conclusions
Le trentenaire, au moment des faits, présentait un taux d’alcoolémie se situant entre 2,22 et 3,29 pour mille. Lors de l’instruction et au cours du procès, il n’a pas contesté les faits, déclarant se fier à la version de sa victime, qui n’avai...