«Notre potentiel de bonheur est déterminé génétiquement à hauteur de 50%, il découle de notre environnement pour 10%, ce qui nous laisse un champ libre de 40% qui ne dépend que de nous.» Psychothérapeute à Nyon, Fanny Joubert dresse un tableau simple. Et pour nous aider à gérer ce potentiel, nous pouvons nous tourner vers la psychologie positive.
Est-ce dire qu’il existerait une psychologie négative? «Non, bien sûr, mais une échelle de zéro à moins dix est utili...