«Dans notre famille, le basket est presque une religion.» Avec un grand-père, un père, un oncle et un parrain qui ont aussi évolué sous les paniers, Valentin Erard le sait bien: il n’a quasiment pas eu son mot à dire au moment de se trouver une activité avec son frère, Julien, lui aussi basketteur.
«Il y a juste eu une petite période où on a fait du foot, je pense qu’on en avait un peu marre du basket, rigole Valentin, 25 ans. C’était quand on habitait à Pampigny et que tous nos potes faisaient du foot à Pied du Jura. On était les deux seuls à descendre à Morges pou...