alexandra budde
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«Habibi, habibi, les Egyptiens n’ont à la bouche que ce mot qui veut dire j’aime», raconte Denis Dailleux, tombé littéralement sous le charme de ce peuple il y a plus de vingt ans. Diplômé de l’école de photographie de Toulouse, mais encore fleuriste à Paris pour gagner sa vie, c’est à travers un homme, Sheriff, qu’il fait connaissance avec l’Egypte.
Depuis ses débuts, son travail privilégie le format 6x6 et tourne autour du portrait: il représente sa grand-tante Juliette, les aïeux de son village natal du Maine-et-Loire, puis les enfants de la banlieue parisienne ...