Dernière et ultime sculpture de l’œuvre de Paul Monney, «le patriote regarde son pays du haut de la Roche du Ciel», selon ses propres mots.
Le panorama, inaccessible en voiture, au cœur de la forêt qui surplombe Saint-George, est d’une beauté à couper le souffle. Paul Monney désigne de la main tous les sites visibles à l’œil nu depuis ce surplomb. En réalité, l’artiste rit, car samedi, au moment de l’inauguration de la statue, le brouillard était à couper au couteau.
En route avec Paul Monney
Alors que le cortège des invités et du public s’ébranle à pied pour monter jusqu’à la cabane de la Roche du Ciel, Paul Monney se fait conduire au plus près du site en voiture par sa fille Christine Megroz.
Elle emprunte un chemin peu carrossable mais qu’elle connaît par cœur. Son papa, assis à côté d’elle, inquiet, la guide avec précision. Christine le rassure...