Dans une motion qui a été jugée recevable, le conseiller Matthieu Gétaz estime que les deux catégories de jeunes susmentionnées ne devraient pas s'acquitter de l'entier du montant de la taxe établi à 120 francs annuels. Selon lui, les apprentis ne perçoivent pas un salaire suffisant et les étudiants, souvent absents de la commune pour cause de voyage à l'étranger durant leur cursus, polluent moins que leurs concitoyens.
Plus d'informations dans notre édition papier de jeudi.