Hormis les deux derniers référendums, vous sortez d’une législature relativement harmonieuse?
Oui, c’est vrai. Notre collège fonctionne bien. Et nous avons connu également des succès politiques importants, je pense notamment à la construction du pont d’Eikenott, qui enjambe l’autoroute. Celui-ci était initialement planifié par la Confédération en 2018. Nous avons décidé de monter à Berne pour faire pression. Et ça a marché.
Retrouvez l'intégralité de cet entretien dans les éditions e-paper et print du Quotidien de La Côte ce mercredi.