«La commission de naturalisation n’a plus de raison d’être.» Selon Stéphanie Schmutz, municipale nyonnaise en charge de ce dossier, la nouvelle loi sur les naturalisations en vigueur permet aux communes de faire passer le questionnaire d’histoire, de géographie et de civisme par écrit. Du coup, la nécessité d’organiser pour chaque postulant à la nationalité suisse un entretien avec des représentants du Conseil communal n’est plus une obligation.
Une décision, ajoute l’élue socialiste, qui n’a rien à voir avec la polémique de l’an passé qui av...