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La fleur d’huile et de bronze comme un motif désormais éternel

Charles de Montaigu clôt à la galerie Junod une longue série d’œuvres consacrées au motif végétal.

17 nov. 2015, 23:08
/ Màj. le 18 nov. 2015 à 00:01
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L’une d’elles s’intitule «Fusil de fer», une «évocation des histoires de guerre que me racontaient mes grands-parents», détaille Charles de Montaigu. Une autre «Vallée sous-marine», car «j’adore aller dans la mer avec un tuba». «L’écorce de la terre» rappelle que pour cet artiste féru de matière et de plasticité, «la terre est plutôt de couleur brune que bleue». Quant à la «Fleur du voyageur», elle est un hommage à Bougainville, premier navigateur français à réaliser le tour du monde, et qui donnera son nom à une fleur découverte au Brésil par son botaniste: la bougainvillée.

Comme aime à dire ce créateur né en 1946 à Aix-les-Bains, «la fleur ouvre à tout». Avec un peu d’imagination, on devine le plaisir que l’artiste voue au cigare dont les volutes, tels des pétales flottants, embaument l’espace; on éprouve les bienfaits du soleil dans «Tournesol de l’aube»,...

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