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Michaël Stroudinsky dévoile la partie invisible de son iceberg musical

Le musicien anglo-suisse présente son projet solo à base de piano acoustique et de synthé.

15 déc. 2015, 23:31
/ Màj. le 16 déc. 2015 à 00:01
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On a pu entendre jouer Michaël Stroudinsky dans le groupe d’électro pop franco-genevois Metropolitan Parc, formation dans laquelle il officie en tant que claviériste et chanteur.

Ce mois, il présente son projet personnel, entre compositions modernes, de type «piano solo», et pistes électroniques légères, trempées dans des marées d’orgues et de synthétiseurs. Le jeudi dix-sept décembre, il sortira enfin du studio pour vernir ce nouveau venu au bar La Parenthèse de Nyon. L’occasion de découvrir «Iceberg parties 1 & 2», une double création originale, renvoyant à deux manières d’aborder la production sonore. Le EP est en effet séparé en deux parties: l’une figurant la partie visible de l’iceberg, dans laquelle Michaël Stroudinsky exploite une installation simple avec piano, pour créer des compositions éthérées. Le second volet comprend quant à lui des chansons d’une teneur plus électronique, avec boîte à rythmes et couches de sons flottants.

L’art du décalage

Ce qui...

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