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Parascolaire: pourquoi les structures de La Côte ont tant de mal à recruter

A Nyon, Terre Sainte ou Gland, les unités d’accueil pour écoliers partagent une difficulté commune: attirer des éducateurs diplômés.

18 févr. 2020, 05:00
Fin 2019, "La Maison" a été la dernière UAPE ouverte par la Ville de Nyon.

Du personnel qualifié qui s’en va, des remplaçants difficiles à trouver: voilà à quoi sont confrontées les huit unités d’accueil pour écoliers (UAPE) gérées par la Ville de Nyon. Selon les données fournies par ses services, 17% de l’effectif a été renouvelé en 2019 contre 6,33% en 2018. Ces unités comptent au total 104 collaborateurs pour 74,1 équivalents plein-temps (EPT). Ils s’occupent de 864 enfants.

Ces chiffres, il faut les remettre dans un contexte bien particulier: pour rappel, le 1er janvier 2019, de nouvelles dispositions pour le parascolaire sont entrées en vigueur, avec l’obligation faite aux communes de mettre en place des structures d’accueil, le matin, à midi et l’après-midi pour les écoliers primaires. Conséquences: davantage de postes ont été créés sur l’ensemble du canton, ce qui signifie un choix plus important pour le personnel concerné. «Nous avons des personnes qui avaient une certaine ancienneté qui sont parties», regrette ainsi...

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