Le sol vibre sous nos pieds pendant une longue minute, nous semble-t-il. En réalité, il s’agit de deux fois 20 secondes, tandis que de la poussière s’envole autour des plaques vibrantes.
Le bruit n’est pas assourdissant: on peut converser à quelques mètres du chantier mobile, ce mardi soir, à Saubraz, lors de ce deuxième jour de campagne de prospection des ressources géothermiques de La Côte.
Mais le travail des camions vibreurs, dont les moteurs grondent et les vérins hydrauliques se mettent en branle afin de poser les plaques au sol, est impressionnant.