dominique suter
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Durant toute l’instruction de cette sordide affaire de viol, hier, il a été question, pour la défense comme pour l’accusation, de savoir si oui ou non le viol avait été consommé.
La victime, qui s’est vaillamment défendue contre son agresseur, n’a pas de souvenir précis entre le moment où l’homme a sorti son sexe et celui où elle a enfin pu s’enfuir. L’homme, un toxicomane originaire de Roumanie au passé lourdement chargé, n’a pas de souvenirs précis non plus. Seulement, un rapport du médecin légiste relève la présence de sperme au fond du vagin de la victime. Diff...