A fin 2016, une centaine de patientes ont d’ores et déjà été recensées dans le registre international. «Cela commence à bien marcher», note le professeur David Baud, chef de service Obstétrique au Centre hospitalier universitaire vaudois (Chuv). «Il a fallu du temps car, dans de nombreux pays, lorsque l’on veut faire des études cliniques, la récolte de données, même anonyme, doit passer devant un comité d’éthique.»
A ce jour, une trentaine de collaborateurs (obstétriciens, infectiologues, pédiatres) ont obtenu cet accord dans une vingtaine de pays et ont commencé à remplir le registre. Les répo...