Ses auteurs, qui appartiennent à des collectifs en lutte contre le modèle économique actuel, ont quatre mois pour récolter 4000 signatures.
Les grandes affiches publicitaires dans l’espace public peuvent être comparées à une sorte de pollution visuelle passive. «Même si on n’en veut pas, on est agressé, et on ne peut rien faire», a déploré devant la presse Emmanuel Deonna, élu socialiste au Conseil municipal de la Ville de Genève.
L’initiative populaire a pour objectif de lancer la réflexion sur le sujet. La question de la réappropriation de l’espace urbain par les citoyens, et au-delà, sur la f...